Quand l’iguane chante le lézard

Oh, God ! Save the Queen ! Sauvons-nous de la routine, que la vie soit une aventure perpétuelle et que nous gardions un esprit punk dans une société qui nous dit toujours quoi faire. Ce qui veut dire : avoir l’envie d’aller plus loin et d’être créatif.
iguane

Photo de Meritt Thomas sur Unsplash

Delphine Petitjean - Rédactrice en chef

On a le choix

Delphine Petitjean
Rédactrice en chef et journaliste

Delphine est diplômée en études de la communication et des médias ainsi qu'en rédaction web et enseignement. Elle a débuté en presse écrite en Belgique, puis s'est dirigée vers le domaine de l'insertion professionnelle et de la formation. Au Canada, elle a été chargée de projet, a eu quelques collaborations en rédaction, avant de se former à la réalisation documentaire et de co-fonder On a le choix Média.

Rouler à l’infini

Parue en 1977, la chanson « The Passenger », d’Iggy Pop (surnommé l’iguane) est une adaptation d’un poème du Roi Lézard, Jim Morrison. Une vieille révolution dans le cœur de beaucoup d’ados de ma génération. Alors que le slogan du mouvement punk crie « No Future », ce morceau sort sur un album ayant un titre plus réjouissant : « La soif de vivre »

Le message pourrait se résumer par « La vie moderne est un voyage en voiture » et s’inscrit dans la philosophie beatnik dont Morrison se revendiquait. Iggy Pop sillonne l’Europe en compagnie de David Bowie qui l’a sauvé de l’hôpital psychiatrique. Il enregistre « The Passenger » à Berlin Ouest, alors que la ville est encore divisée en deux. C’est une invitation à franchir le mur «  Rouler indéfiniment, regarder les étoiles derrière la vitre et se dire que le monde nous appartient ».

Poser ses valises, mais rêver encore

Après avoir pris la route comme passagère, j’ai choisi Cornwall, au même titre que beaucoup de nouveaux arrivants francophones. Le changement, ça va un temps, mais trouver son port d’attache est essentiel.

À lire aussi : Cornwall comme communauté francophone accueillante : un nouveau départ ?

Cornwall « l’accueillante » n’est pas toujours facile à saisir. Il s’agit de faire tomber quelques murs pour favoriser l’ouverture, mais la ville a tout de même un charme fou.

Reste qu’il faut faire en sorte que le voyage symbolique ne s’arrête pas, que la découverte soit encore au rendez-vous, avec l’évolution en ligne de mire.

D’accord avec ça ?

Bonne écoute !

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2 réflexions sur “Quand l’iguane chante le lézard”

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