Qui est l’artiste ?

Cette semaine, nous célébrons en grand l’originalité, alors que nous avons assisté à la réunion communautaire sur le plan d’action pour l’art et la culture. On se rappelle qu’il faut apprécier le talent créateur, celui qui rend le monde plus agréable à vivre.

À une époque, si notre média avait dû opter pour un autre nom, ils se serait peut-être appelé La voix des oubliés. Cependant, ce n’est pas des plus « marketable » (quoique, pour certains, tout est bon à prendre). Cette semaine, on revendique les droits de chacun et on se requinque avec un beau rebelle !

Piapiapia… Ou comment, grâce à la rumeur, votre voisin vu en train de se gratter l’aine a probablement un flingue sous le manteau. L’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours. Parlons de cet étrange réflexe humain à désamorcer.

Attention, oreilles sensibles, s’abstenir ! Orelsan en a choqué plus d’un.e.s et il n’est pas question d’être d’accord avec tout ce qu’il dit. Mais si vous êtes allergique au blabla qui masque le vide, il est là pour rappeler des évidences. Ça fait du bien parfois.

En ce mois des aînés, il est bon de se rappeler à quel point les personnes âgées sont des sources d’inspiration précieuses. Il ne faut donc pas les négliger. Penchons-nous sur une chanson triste et joyeuse à la fois.

À l’occasion de la fête des Pères, voici une chanson qui évoque les instants essentiels, ceux du partage. Passer du temps avec ses enfants et faire des activités avec eux est ce qui construit la relation. Ce sont les meilleurs souvenirs, qui, sans doute, aident à supporter l’absence le moment venu.

La chanson de la semaine est sur l’affirmation de soi et l’importance de vivre ses rêves pour être heureux, malgré les difficultés. Ça rime avec l’actualité du mois de juin et ce sont des notions qui méritent parfois une piqûre de rappel.

Comme il y a 15 jours, cette semaine est placée sous le signe de la préservation de la faune et de la flore. L’environnement, à l’instar de la culture, fait partie des grands oubliés. Alors, deux fois valent mieux qu’une. J’ai à nouveau choisi Francis Cabrel, artiste écologiquement engagé et une chanson qui met en lumière la bêtise humaine à l’égard des animaux.

Le 17 mai était la Journée mondiale de la lutte contre l’homophobie et la transphobie. Nous voilà ici une semaine plus tard avec l’envie de célébrer un pionnier. Car oui, il en faut pour faire changer les mentalités. Et les artistes sont souvent les meilleurs pour mobiliser les foules sur des sujets de société.

La chanson d’aujourd’hui est un hommage à ce magnifique poirier en face de chez moi et au bon voisinage qui est un trésor. On parle des gens, comme de tout ce qui constitue notre environnement immédiat.