Guérie, libres, heureux

Cette semaine à Cornwall, lors de l’atelier sur les communautés plus sûres, le mot en i dont certains ne se remettent jamais a été évoqué. Quelques jours plus tard, représentants canadiens et américains se sont rencontrés. Dans cette rubrique, il est donc question de résilience et d’unité.
Oiseau dans le ciel - Photo de DICSON sur Unsplash

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Photo de DICSON sur Unsplash
Delphine Petitjean - Rédactrice en chef

On a le choix

Delphine Petitjean
Rédactrice en chef et journaliste
Delphine est diplômée en études de la communication et des médias ainsi qu'en rédaction web et enseignement. Elle a débuté en presse écrite en Belgique, puis s'est dirigée vers le domaine de l'insertion professionnelle et de la formation. Au Canada, elle a été chargée de projet, a eu quelques collaborations en rédaction, avant de se former à la réalisation documentaire et de co-fonder On a le choix Média.

Traumatisme et vie de femme

Une artiste a raconté de façon imagée l’expérience de l’inceste. Barbara était autrice-compositrice-interprète et pianiste. Elle a sorti la chanson « L’aigle noir » en 1970. L’oiseau est l’assaillant nocturne. C’est sans doute son titre le plus populaire, mais il en existe un autre, plus joyeux, que le public connait moins.

Le morceau Si la photo est bonne est paru en 1965. Le texte démontre que même après une agression sexuelle, la femme peut être dans la séduction (heureusement). C’est l’histoire d’une Première dame qui a un coup de cœur pour un condamné à mort.

« Dans la rubrique du vice, y’a l’assassin d’service qui n’a pas du tout l’air méchant, qu’a plutôt l’œil intéressant. Coupable ou non coupable, s’il doit se mettre à table, dites-lui qu’il vienne, pour se mettre à la mienne. Si la photo est bonne, y’est bien de sa personne, Y’a pas plus l’air d’un assassin que le fils de mon voisin… »

Au-delà du mur

Sur fond d’inquiétude tarifaire et avec mon anglais pas 100 % fiable, je cherchais aussi le titre d’une chanson de Peter Gabriel que j’aime beaucoup. Je l’ai finalement trouvé, c’était Games Without Frontiers. Il n’y a pas de hasard. Le morceau est sorti en 1980, sur l’album studio du même nom.

Le texte nous dit que la guerre et la diplomatie internationale sont des jeux d’enfants. C’est vrai qu’on se demande souvent quel âge a Trump, right ?

Et pour finir en poésie, je vous partage un jeu bien plus intéressant qui s’est déroulé il y a 6 ans, à cheval entre le Mexique et les États-Unis. Deux artistes, professeurs à l’Université de Berkeley y ont fait installer des balançoires roses. Des moments partagés à travers le mur pour les enfants mexicains et américains, comme un symbole pacifiste de résistance.

Peace, love et bonne écoute !

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